Alors que l’édition 2024-2025 du Vendée Globe touche à sa fin, les ultimes skippers poursuivent leur route vers les Sables-d’Olonne. À la date du 2 mars 2025 à 9h, il ne reste plus que deux concurrents encore en mer, tandis que le dernier arrivé, Manuel Cousin, a bouclé son tour du monde la veille.
Manuel Cousin, dernier arrivé aux Sables-d’Olonne
Le 1er mars 2025, Manuel Cousin (Coup de Pouce) a franchi la ligne d’arrivée en 31ᵉ position, bouclant ainsi son deuxième Vendée Globe consécutif. Après plus de trois mois en mer, le skipper a surmonté plusieurs avaries techniques et des conditions météorologiques difficiles pour terminer son périple. Malgré une place en fond de classement, sa performance témoigne d’une grande persévérance, lui permettant d’ajouter une nouvelle ligne à son palmarès.
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Tableau du classement du 2 mars 2025 à 9H
Deux skippers encore en mer : l’arrivée approche
Alors que la fenêtre de classement officiel du Vendée Globe se refermera le 7 mars à 8h UTC, deux navigateurs sont encore en course et doivent franchir la ligne d’arrivée dans les jours à venir :
- Fabrice Amedeo (Nexans – Wewise) : Actuellement en 32ᵉ position, le skipper français progresse à un rythme stable et devrait rejoindre les Sables-d’Olonne d’ici le 4 mars. Après une course marquée par des soucis techniques et une météo capricieuse, il reste concentré sur son objectif : boucler son tour du monde en solitaire et en finir avec ce défi hors normes.
- Denis Van Weynbergh (D’Ieteren Group) : Positionné à la 33ᵉ place, le navigateur belge rencontre une avarie de vérin de quille qui complique sa progression. Son arrivée reste incertaine, mais il met tout en œuvre pour franchir la ligne avant la date limite du classement officiel. Son aventure est un véritable combat contre les éléments et les imprévus mécaniques.
Une édition marquée par des records et des défis extrêmes
Cette édition 2024-2025 du Vendée Globe restera dans l’histoire avec un nouveau record signé Charlie Dalin (MACIF Santé Prévoyance), vainqueur en 64 jours, 19 heures, 22 minutes et 49 secondes. Ce chrono spectaculaire illustre les progrès technologiques des IMOCA et la maîtrise exceptionnelle du skipper, qui a su naviguer à une cadence infernale tout au long de la course.
Avec l’arrivée imminente des derniers concurrents, le rideau s’apprête à tomber sur cette édition palpitante. Chacun des skippers ayant franchi la ligne d’arrivée aura repoussé ses limites dans cette aventure hors du commun, où le dépassement de soi est la seule véritable victoire.