Comment se préparer pour le Marathon de Nantes 2025 ?

By Erwan

Le Marathon de Nantes, c’est un rendez-vous immanquable pour les coureurs en quête de défi. Que ce soit votre premier 42 km ou que vous soyez déjà un habitué des longues distances, une bonne préparation est essentielle pour arriver au bout sans finir en mode zombie. Entraînement, alimentation, récupération… Voici tout ce qu’il faut savoir pour être au top le jour J.

Un plan d’entraînement structuré pour éviter la casse

Courir un marathon, ce n’est pas juste enfiler ses baskets et enchaîner les kilomètres au feeling. Si vous partez sans plan, vous risquez surtout de vous griller avant même d’avoir franchi la ligne de départ.

L’idéal, c’est de commencer sa préparation au moins trois mois à l’avance avec une progression adaptée. Trois sorties par semaine suffisent au début, en alternant des séances de footing à allure modérée, du fractionné pour améliorer l’endurance et une sortie longue chaque week-end pour habituer le corps à tenir la distance.

Ne négligez pas le renforcement musculaire. Avoir des jambes solides, un bon gainage et un dos en béton, ça change tout sur un marathon. Quelques exercices de squat, de gainage et même du yoga peuvent faire la différence et éviter bien des douleurs le jour de la course.

Et surtout, respectez les phases de repos. Courir fatigué et accumuler les kilomètres sans écouter son corps, c’est le meilleur moyen de se blesser et d’arriver cramé avant même d’avoir épinglé son dossard.

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Une alimentation adaptée pour tenir sur la durée

Manger n’importe comment et espérer performer sur un marathon, c’est comme mettre du diesel dans une voiture essence, ça ne va pas bien finir. L’alimentation joue un rôle clé dans la préparation, et il ne suffit pas d’engloutir des pâtes la veille de la course pour avoir de l’énergie.

Tout commence bien avant. Il faut habituer son corps à bien utiliser les glucides et les lipides comme carburant. Les jours d’entraînement, misez sur des repas riches en protéines, avec des bons glucides comme le riz complet, la patate douce ou l’avoine, et des lipides de qualité qu’on trouve dans les oléagineux ou l’huile d’olive.

Les compléments peuvent aussi être un vrai coup de pouce. Par exemple, certains produits disponibles sur le site web HSN permettent d’optimiser la récupération musculaire et d’éviter les baisses d’énergie en pleine course. Quand on sait qu’un marathon se joue aussi dans la capacité à bien récupérer entre les séances, autant mettre toutes les chances de son côté.

Et bien sûr, hydratez-vous correctement. Attendre d’avoir soif, c’est déjà trop tard. Buvez régulièrement tout au long de la journée et testez vos stratégies d’hydratation pendant vos entraînements pour éviter les mauvaises surprises le jour de la course.

La récupération, une étape à ne pas bâcler

Vous pouvez avoir le meilleur entraînement du monde, si vous négligez la récupération, ça ne sert à rien. Le corps a besoin de repos pour assimiler les efforts et progresser.

D’abord, le sommeil. C’est pendant la nuit que les muscles se réparent et que l’énergie se recharge. Un bon sommeil, c’est la base pour tenir sur la durée et éviter les blessures.

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Ensuite, les étirements et les massages. Après chaque séance, prenez le temps de bien étirer les jambes et d’utiliser un rouleau de massage pour détendre les muscles et éviter les courbatures qui s’accumulent.

Enfin, pensez aux bains froids et aux techniques de récupération active comme la marche ou le vélo léger. Ça permet de relancer la circulation sanguine et d’éliminer plus rapidement les toxines accumulées pendant l’effort.

Le jour du marathon, tout se joue dans la gestion de l’effort. Gardez une allure régulière et adaptez votre respiration pour éviter le fameux mur des 30 km. Et surtout, profitez. Parce que franchir la ligne d’arrivée après 42,195 km, c’est une sensation unique, et tout l’entraînement en vaut largement la peine.

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