Qui veut être mon associé ? Eric Larchevêque :  Les deals sont-ils réellement conclus après l’émission ?

By Erwan

Le succès télévisuel de « Qui veut être mon associé ? » est indéniable. Mais une fois les caméras éteintes, les accords conclus devant des millions de téléspectateurs aboutissent-ils vraiment ? Éric Larchevêque, investisseur emblématique de l’émission, vient d’apporter un éclairage précieux sur le suivi réel des deals.

A retenir :

  • 70 % des deals conclus par Éric Larchevêque aboutissent réellement.
  • Un suivi rigoureux est effectué après l’émission.
  • Les deals non réalisés résultent principalement de désaccords ou de refus.

Les deals signés en plateau : entre réalité et mise en scène

La question revient chaque saison : les deals passés sur le plateau de « Qui veut être mon associé ? » sont-ils sérieux ou restent-ils simplement spectaculaires pour la télévision ? Selon Éric Larchevêque lui-même, la réalité est nuancée. Depuis son arrivée dans l’émission, il totalise 27 engagements pris face caméra, un chiffre conséquent qui révèle un véritable engouement. Mais, dans les coulisses, l’aboutissement concret n’est jamais garanti.

Selon ses déclarations récentes sur son compte X (anciennement Twitter), 19 accords ont effectivement été réalisés, soit un taux impressionnant de 70 % :

« Nous sommes donc à 70 % de taux de succès, ce qui est assez énorme quand on part d’une poignée de main et une petite heure de discussions ! » – Éric Larchevêque.

Principaux défis après l’émission Qui veut être mon associé ? : pourquoi certains deals échouent ?

Si 70 % des deals aboutissent, pourquoi les autres 30 % échouent-ils malgré une apparente entente sur le plateau ? D’après les statistiques précises fournies par Larchevêque, 8 projets n’ont pas vu le jour après l’émission. Parmi eux :

  • 3 deals annulés par les entrepreneurs eux-mêmes, qui changent d’avis ou préfèrent rester indépendants.
  • 5 abandons liés à des audits approfondis ou à des désaccords, où c’est l’investisseur lui-même qui décide de sortir.
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Selon ces données, on comprend que derrière chaque poignée de main se cache une réalité économique complexe. Ce n’est pas simplement l’émotion ou le storytelling qui dictent la réussite des accords, mais bien la rigueur des analyses financières et stratégiques effectuées après la diffusion.

Les conséquences réelles : un suivi rigoureux des investisseurs

Mais que se passe-t-il après la signature réelle d’un deal ? Contrairement à ce que certains téléspectateurs pourraient croire, le vrai travail commence à peine une fois l’émission diffusée. Selon Éric Larchevêque, un investissement réussi implique généralement entre 5 et 10 ans d’accompagnement avant une potentielle sortie, que ce soit par une vente, un rachat ou, malheureusement parfois, une cessation d’activité.

D’après son témoignage, c’est une période longue et exigeante :

« C’est énormément de travail qui commence après la diffusion, et qui va durer de nombreuses et longues années. »

Deux entrepreneurs ayant bénéficié d’investissements témoignent à ce sujet :

« Sans l’appui concret après l’émission, nous n’aurions pas tenu. L’investisseur était présent, ce n’était pas que du spectacle ! »

Retour d’expérience d’Éric Larchevêque :

« Chaque investissement est une aventure humaine et économique. Ce n’est jamais facile, mais toujours passionnant. »

Solutions et initiatives : comment améliorer encore le taux de succès ?

Pour maximiser le succès de ces accords, Éric Larchevêque insiste sur l’importance d’un processus rigoureux dès le départ. Chaque deal est suivi d’un audit détaillé et d’une série d’entretiens approfondis avant que l’investissement ne soit définitivement validé.

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Voici un aperçu des étapes clés après l’émission :

Étape post-émissionObjectif principal
Audit completVérifier la réalité économique du projet.
Négociations complémentairesValider les conditions précises d’entrée.
Accompagnement opérationnelAssurer un soutien concret à l’entrepreneur.

Le taux de succès actuel de 70 % est remarquable mais pourrait être encore amélioré par :

  • Un accompagnement renforcé des entrepreneurs après l’émission.
  • Un processus plus clair en amont sur les conditions réelles d’investissement.
  • Des audits préliminaires avant même le passage en plateau.

Finalement, si la patience est essentielle pour les entrepreneurs, elle devient indispensable pour les investisseurs. Derrière chaque deal se cache une réalité complexe mais passionnante, loin des caméras.

Et vous, pensez-vous que les deals de « Qui veut être mon associé ? » sont réellement suivis après l’émission ? Partagez votre avis en commentaire !

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