L’émission « Qui veut être mon associé ? » revient sur M6 ce mercredi 5 février 2025 à 21h10 pour une cinquième saison pleine de nouveautés. Depuis son lancement, ce programme s’est imposé comme un véritable tremplin pour les entrepreneurs, leur offrant une opportunité unique de présenter leurs projets à des investisseurs de renom. Cette année, trois nouveaux membres intègrent le jury, et le format de présentation évolue pour rendre les pitchs encore plus percutants.
Mais qu’en est-il des entrepreneurs des saisons précédentes ? Ont-ils transformé leur passage dans l’émission en succès entrepreneurial ? Nous revenons sur le parcours de Vidiamo et Pimpant, deux entreprises qui avaient marqué les esprits.
Vidiamo : Une poussette innovante qui rebondit après des difficultés financières
Lorsque Bénédicte a présenté Vidiamo sur le plateau de « Qui veut être mon associé ? », son concept de poussette multifonction avait séduit les investisseurs. Cependant, malgré l’intérêt suscité, son entreprise traversait une passe difficile, avec des problèmes financiers mettant en péril son activité.
Éric Larchevêque, ancien patron de Ledger et investisseur visionnaire, a décidé de miser sur Vidiamo et d’accompagner Bénédicte dans sa restructuration. Son expertise a permis à l’entrepreneuse de :
- Optimiser ses coûts de production pour améliorer ses marges.
- Réorganiser sa stratégie commerciale en ciblant des distributeurs spécialisés.
- Développer sa présence en ligne, notamment via les réseaux sociaux et des influenceurs parentaux.
📢 « Nous avons vécu des moments difficiles, mais l’accompagnement d’Éric Larchevêque a changé la donne. Aujourd’hui, nos ventes ont bondi et nous envisageons une expansion internationale. » – Bénédicte, fondatrice de Vidiamo.
💡 Selon un rapport de Bpifrance, les entreprises accompagnées par des investisseurs spécialisés ont 60 % plus de chances de réussir leur transition après une période de crise.
Pimpant : L’écologie et la semaine de 4 jours au cœur du projet
Karline et Baptiste, fondateurs de Pimpant, avaient présenté leur concept innovant visant à réduire le plastique à usage unique dans les foyers. Leur modèle reposait sur des produits d’entretien sous forme de poudre à diluer, une alternative écologique aux bidons en plastique.
Lors de leur passage dans l’émission, leur vision sociale et écologique avait divisé les investisseurs, notamment à cause de leur engagement en faveur de la semaine de 4 jours pour leurs employés. Malgré un scepticisme initial, l’entreprise a su tirer parti de la visibilité offerte par l’émission pour mobiliser une communauté de clients engagés.
Un financement participatif plutôt qu’un investisseur unique
Plutôt que de s’appuyer sur un unique investisseur, Pimpant a opté pour une levée de fonds participative, impliquant plus de 1 500 petits investisseurs. Ce choix leur a permis de :
✅ Financer leur première usine en France, spécialisée dans la production de poudre à diluer.
✅ Accélérer la R&D pour proposer de nouveaux produits écoresponsables.
✅ Prouver que l’écologie et le bien-être des employés ne sont pas incompatibles avec la rentabilité.
📢 « Nous avons choisi de faire confiance à notre communauté, et le pari a été gagnant. Aujourd’hui, nous avons une usine qui tourne et des clients fidèles qui partagent nos valeurs. » – Karline et Baptiste, cofondateurs de Pimpant.
💡 Selon une étude de l’ADEME, 78 % des consommateurs sont prêts à payer plus cher pour des produits respectueux de l’environnement.
Les nouveautés de la saison 5 : un challenge encore plus intense
Un pitch plus court, une pression plus forte
Les entrepreneurs devront désormais convaincre en seulement 1 minute 30. Cette réduction du temps de présentation impose une clarté et une efficacité redoutables pour capter l’attention des investisseurs.
Un jury partiellement renouvelé
Trois nouveaux investisseurs rejoignent l’émission cette année :
- Alice Lhabouz (fondatrice de Trecento AM, spécialiste en gestion de fonds).
- Julian Jacob (créateur de Wyncor, expert en jouets et distribution).
- Jean-Michel Karam (PDG d’IEVA, leader en beauté connectée).
En revanche, Jean-Pierre Nadir, Stéphanie Delestre et Tony Parker quittent l’aventure. Les piliers de l’émission, Marc Simoncini, Anthony Bourbon, Éric Larchevêque et Kelly Massol, restent en place.
💡 Selon le site Programme TV, « Qui veut être mon associé ? » a permis à 120 entrepreneurs sur 220 d’obtenir un financement.
L’impact de l’émission sur l’écosystème entrepreneurial français
Depuis son lancement, « Qui veut être mon associé ? » s’est imposé comme un levier puissant pour les start-ups françaises. Au-delà des levées de fonds, le programme offre une exposition médiatique massive qui se traduit souvent par :
📈 Un pic de trafic sur les sites des entrepreneurs.
📦 Une augmentation significative des commandes après la diffusion.
🤝 Des opportunités de partenariats avec d’autres professionnels du secteur.
📢 « Même sans investissement, notre passage dans l’émission nous a permis de toucher des milliers de clients potentiels en une soirée ! » – Un ancien participant de l’émission.
💡 Selon un article de Challenges, plusieurs start-ups ayant participé à l’émission ont vu leur chiffre d’affaires doubler en quelques mois grâce à la notoriété acquise.
Un tremplin toujours aussi efficace pour les entrepreneurs
La cinquième saison de « Qui veut être mon associé ? » s’annonce encore plus dynamique et exigeante. Avec un temps de pitch réduit, de nouveaux investisseurs et une audience fidèle, le programme continue de jouer un rôle clé dans l’écosystème entrepreneurial français.
Les parcours de Vidiamo et Pimpant montrent que, avec ou sans investissement, une bonne exposition médiatique et une communauté engagée peuvent suffire à transformer une start-up en succès commercial.
👉 Que pensez-vous de cette nouvelle saison et du parcours des anciens participants ? Dites-le-nous en commentaire !