Vendée Globe 2024, Classement du 29 janvier 2025 à 15H

By Loic

Alors que le Vendée Globe 2024 touche à sa phase finale pour certains skippers, la bataille continue en mer pour ceux qui n’ont pas encore franchi la ligne d’arrivée. Les onze premiers navigateurs sont déjà aux Sables-d’Olonne, mais derrière eux, la lutte est intense entre ceux qui cherchent à gagner des places et ceux qui doivent gérer la fatigue et les avaries pour assurer leur arrivée.

Dans l’Atlantique Sud ou déjà engagés dans la remontée vers l’Europe, les concurrents encore en mer font face à un dernier défi de taille avant de boucler ce tour du monde en solitaire.

Vendée globe 2024 : le classement du 29 janvier 2025 et les enjeux pour les skippers en course

Le Vendée Globe 2024 continue de captiver les passionnés de voile, alors que les skippers toujours en course luttent contre les éléments pour rallier les Sables-d’Olonne. Alors que les onze premiers concurrents sont déjà arrivés, l’attention se tourne désormais vers ceux qui bataillent encore sur les océans. À mi-parcours pour certains, dans les derniers miles pour d’autres, cette phase finale s’annonce haletante.

A lire également :  Vendée Globe 2024, Classement du 22 janvier 2025 à 19H

Suivre le Vendée Globe en direct :

Tableau du classement du 29 janvier 2025 à 15H

[table “501” not found /]

Les navigateurs en lice : qui va tirer son épingle du jeu ?

Sur les flots déchaînés du Pacifique et de l’Atlantique Sud, les concurrents restants font preuve d’une détermination sans faille. Chaque jour compte pour gagner des places ou simplement assurer l’arrivée, alors que les conditions météorologiques dictent la cadence.

Voici les enjeux pour les skippers encore en mer :

  • Remonter au classement : Certains skippers se battent pour améliorer leur position en profitant des erreurs ou ralentissements de leurs adversaires.
  • Gérer l’usure du bateau : Après plus de deux mois en mer, les avaries s’accumulent et peuvent coûter cher en termes de performance.
  • Éviter les pièges météorologiques : Passer les redoutables zones sans vent ou les dépressions explosives peut faire toute la différence.

Selon les experts du Vendée Globe, cette édition est particulièrement exigeante, avec une météo capricieuse et des stratégies divergentes entre les coureurs.

Des écarts qui se réduisent sur la fin de course

Alors que les meilleurs encore en lice s’approchent du mythique cap Horn, les écarts se resserrent et la pression monte. Plusieurs skippers naviguent dans un rayon de quelques centaines de milles nautiques, ce qui laisse entrevoir des rebondissements jusqu’à l’arrivée.

D’après les analyses des routages météo, certains favoris parmi ceux encore en course pourraient bénéficier de vents plus favorables, leur permettant de gagner des places avant de remonter l’Atlantique.

« Le plus dur, c’est de ne rien lâcher mentalement. À ce stade de la course, la fatigue est extrême et chaque erreur peut être fatale. »

Témoignage d’un ancien skipper du Vendée Globe

Les stratégies de navigation sont cruciales : certains choisissent de longer l’Amérique du Sud pour bénéficier d’une mer plus calme, tandis que d’autres prennent des risques en s’aventurant plus à l’Est, avec des vents plus puissants mais plus difficiles à négocier.

A lire également :  FC Nantes mercato : Jonathan Ikoné désintérêt par un transfert aux canaries

Des défis techniques et humains constants

Les skippers en mer doivent jongler avec :

  • Des réparations incessantes : Voiles, quille, safrans… à ce stade de la course, chaque pièce compte et la moindre casse peut compromettre l’arrivée.
  • Une gestion du sommeil extrême : Dormir par tranches de 20 à 40 minutes est une norme pour éviter toute erreur fatale.
  • Une alimentation spartiate : Après plus de 80 jours en mer pour certains, les stocks sont parfois réduits à des rations minimales.

Selon les organisateurs de la course, les conditions dans l’Atlantique Sud seront déterminantes pour les prochains jours. Les alizés pourraient offrir un boulevard à certains navigateurs, tandis que d’autres risquent de rester piégés dans des zones de vent instables.

Qui sera le prochain à franchir la ligne d’arrivée ?

À mesure que la flotte progresse vers les Sables-d’Olonne, chaque heure compte pour les concurrents encore en mer. Plusieurs navigateurs devraient arriver dans les 10 prochains jours, tandis que d’autres, plus en arrière, auront encore des semaines de navigation devant eux.

Cette fin de course promet encore des rebondissements spectaculaires et de nombreuses batailles stratégiques. À suivre de près dans les prochains classements !

Laisser un commentaire