Le Vendée Globe 2024-2025 est une course hors norme où chaque skipper affronte les éléments avec courage. Denis Van Weynbergh, seul représentant belge, occupe actuellement la dernière place, à environ 3 000 milles nautiques des Sables-d’Olonne. Malgré cette position, il continue son aventure avec une motivation sans faille.
Départ du Vendée Globe : un défi unique pour Denis Van Weynbergh
Le 10 novembre 2024, Denis Van Weynbergh prend le large avec 39 autres skippers, rêvant de boucler son premier tour du monde en solitaire. Comme tous les participants, il sait que cette course est une épreuve de résistance extrême.
Au fil des semaines, il franchit plusieurs étapes marquantes :
- Passage du cap Horn le 23 janvier 2025 : après 74 jours de navigation, il double ce cap mythique qui marque la transition entre l’océan Pacifique et l’Atlantique.
- Franchissement de l’équateur le 14 février 2025 : il quitte l’hémisphère sud pour rejoindre la dernière ligne droite vers l’arrivée.
Même en queue de peloton, chaque mille parcouru est une victoire pour ce skipper belge, qui ne lâche rien.
Problèmes techniques et météo : un Vendée Globe riche en défis
Naviguer seul autour du monde, c’est affronter des conditions extrêmes. Denis Van Weynbergh a dû gérer plusieurs incidents techniques et météorologiques.
Selon les dernières informations, il a rencontré :
- Une panne de dessalinisateur : privé d’eau potable, il a dû collecter l’eau de pluie pour subvenir à ses besoins.
- Un bout-dehors endommagé : suite à un incident aux Malouines, il a dû adapter sa navigation pour éviter d’aggraver la situation.
- Des conditions météo compliquées : entre les alizés, les dépressions et l’anticyclone des Açores, il doit sans cesse s’adapter.
Ces épreuves ne l’empêchent pas de continuer son parcours avec optimisme, un état d’esprit clé dans le Vendée Globe.
Une motivation inébranlable pour finir le Vendée Globe 2024
Malgré les difficultés, Denis Van Weynbergh garde le sourire. Il déclare :
« Chaque jour, il y a une nouvelle tâche à accomplir. J’avance étape par étape. »
Son objectif est clair : devenir le premier Belge à terminer le Vendée Globe. Il savoure chaque instant, malgré la fatigue et l’isolement.
Un ami proche témoigne :
« Voir Denis affronter cette course avec autant de passion est une leçon de persévérance pour nous tous. »
Arrivée aux Sables-d’Olonne : un dernier effort pour boucler la boucle
Avec encore 3 000 milles nautiques à parcourir, Denis Van Weynbergh est en route vers la ligne d’arrivée. Son aventure est une source d’inspiration, prouvant que terminer le Vendée Globe est déjà une victoire.
Selon ses propres mots :
« Je prends mon pied, j’en profite tous les jours ! Je vis mon rêve ! »
Retour d’expérience 1 : lors d’une panne d’instruments au large du Brésil, il a dû revenir à une navigation à l’ancienne, utilisant les étoiles et les courants marins. Cette expérience l’a renforcé dans sa confiance en ses compétences.
Retour d’expérience 2 : pris dans une zone sans vent pendant plusieurs jours, il a appris la patience et l’importance de garder le moral en toutes circonstances.
Tableau récapitulatif : les étapes clés du Vendée Globe de Denis Van Weynbergh
Date | Étape | Distance parcourue |
---|---|---|
10 novembre 2024 | Départ des Sables-d’Olonne | 0 milles |
23 janvier 2025 | Passage du cap Horn | ~12 000 milles |
14 février 2025 | Franchissement de l’équateur | ~20 000 milles |
Mars 2025 (est.) | Arrivée aux Sables-d’Olonne | ~24 000 milles |
Sa fin de course est attendue avec impatience. Encouragez Denis Van Weynbergh en laissant un commentaire !
Bravo à Denis , il a remis à l’eau un Imoca senior, a recyclé des matériaux pour le remettre à flots, il navigue sans foil, et rentre à la maison avec son mat et toutes ses voiles .
Viendra le temps où fera cocorico celle ou celui qui arrivera première ou premier à l’arrivée avec le moindre impact sur la nature. VDG le respect de la vie
3 criteres possibles, IMOCA et impact carbone, IMO et impact déchets non degradables largués en course, IMO et impact en course sur la faune des mers.
Le challenge de demain? le respect de la vie de tous , du marin d’abord , on a bien su mettre une barrière pour éviter les icebergs, des animaux marins ensuite, on n’en dit mot mais ces foils ne laissent aucune chance aux animaux marins et enfin de la vie des oceans dont dépend la vie sur la terre. Merci